Le métier d'auto-entrepreneur est une forme de travail qui se caractérise par son absence de subordination à un employeur. Cependant, il n'est pas toujours facile de distinguer les deux formes et il peut arriver que certains types d'activités des salariés soient passés comme indépendants de ce qui est en fait l'employeur. Dans cette forme d'activité, l'impôt est supporté par le propriétaire de l'entreprise qui a embauché les travailleurs.
Que faire l'auto-entrepreneur ?
L'auto-entrepreneur est celui qui exerce son activité à son compte, sans aucune contrainte. Il est un travailleur indépendant qui fournit un service à son compte, sans lien de subordination avec l'employeur. De ce point de vue, le metier auto entrepreneur couvre de nombreux secteurs d'activités, du commerce à l'artisanat en passant par les professions libérales; seuls ceux qui exercent des activités entrepreneuriales sont exclus. En gros, ce métier est effectué sous un numéro de TVA, ce qui signifie que le travail est soumis à la taxe sur la valeur ajoutée au taux en vigueur. Ainsi, il existe différentes formules qui prévoient une taxation différente. A noter, le régime ordinaire et forfaitaire qui sont à mettre en clarté ci-dessous.
Que comprendre des régimes ordinaire et forfaitaire ?
Le régime ordinaire est soumis au paiement de l'impôt sur le revenu des personnes physiques, ce qui a un taux progressif selon la tranche à laquelle on appartient. Aujourd'hui, les tranches prévoient un taux de plus de 21 % jusqu'à un revenu de 14 000 €, puis des taux progressifs pour la partie dépassant 14 000 €. Disons 22 % pour les revenus jusqu'à 14 000 € et 26 % pour la partie des revenus comprise entre 14 000 € et 20 000 €. Quant au régime forfaitaire introduit avec le budget des années 15, il a subi des changements au fil du temps. En 2018 et 2019, d'importantes innovations ont été introduites. Les auto-entrepreneurs peuvent adhérer à ce régime qui, selon le secteur dans lequel ils opèrent, respectent un certain coefficient de rentabilité et se situent dans la limite de chiffre d'affaires par rapport à l'année précédente. Avec le budget des années antérieures, le plafond de chiffre d'affaires a été unifié à plus de 50 000 €. La participation à des partenariats, associations ou entreprises familiales opérant dans ce secteur.